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Tu es le seul à me comprendre

A me soutenir et à m’aider

Tu es cette être tendre

Qui ne cesse d’évoluer.

Tu prends toujours la Vie

Du bon côté

Je t’en supplie

Apprends moi à l’aimer

Cette Vie qui pour moi

N’es pas tous les jours facile

Aujourd’hui c’est un poids

A porter difficile

Mais toi, tu arrives

Toujours à me rassurer

Et quand je dérive

Tu sais me ramener

Sur cette rive de la Vie

Qui semble m’en vouloir

Qui m’apporte des ennuis

Sans autour rien y voir

Encore et toujours présent

Tu sais me guider, m’écouter

Il n’y a pas un instant

Ou je ne cesse de t’aimer …

Aujourdh’ui je souffre

A un point tel

Je suis au bord du gouffre

Ecouter mon appel 

Mon cœur à trop garder

En lui de choses dures

A présent il veut se livrer

De la façon la plus pure

Mon esprit n’arrive plus

A gérer mon mental

Il est comme à la rue

Apperçu en cavale…

Tout paraît inprobable

Mais si vrai pourtant

Plus que réalisable

C’est tous les jours présent

Comment faire revenir

Des rires et de la joie

Dans ce corps à remplir

D’une grande confiance en soi…

Tout se mélange au fond de mon cœur

Plus rien n’a de couleur ni d’odeur

Il y a un grand vide profond

Qui ne cesse de me rappeller l’abandon…

Pourquoi ce passé

Me fait-il tant souffrir

Peut-il s’évaporer

Et me laisser sourire ?

Mon cœur est-il bléssé à jamais

Mon esprit est-il loin de mes pensées

Pourrais-je un jour tout oublier

Et tourner la page de ce livre ce épais …

Tout au fond de moi

Je me sens meurti

L’amour fait la loi

Et parfois trahi.

Depuis le début, pour moi

Rien n’est comme tout le monde

L’absence d’un papa

Toute une vie est longue…

J’ai cru que ma maman

Serais toujours à mes côtés

Mais apparemment

Je me suis bien tromper…

Tes couleurs se ravivent
La nature devient verte
L'hiver tourne à la dérive
Le mauvais temps s'arrête…

Les fleurs écloses
Envoient de la lumière,
Les Flamands roses
Scrutent le bord de la rivière…

Le soleil est souvent
La source de nos journées
Et les rafales de vent
Tente de s'apaiser.

C'est aussi et surtout
La période des vacances
Voilà les deux-roues
Qui au galop s'élancent…

Certains partent à la mer,
D'autres à la montagne,
Été, comme hiver,
Les deux sont agréables…

Les températures hautes
Font sourirent les gens
Mais a qui la faute
S'ils ne rient pas souvent ?